L’engagement de Jean-Claude Mary, membre du conseil d’administration d’Enfants de Tchernobyl Belarus

Photo de Jean-Claude Mary, membre du conseil d'administration de l'association Enfants de Tchernobyl Belarus, place de la Bastile, à Paris, le 26 avril 2014, en train d'expliquer la situation de l'exploitation de l'énergie nucléaire dans les pays de l'ex-URSS

Jean-Claude Mary, au micro, membre du conseil d’administration de l’association Enfants de Tchernobyl Belarus, place de la Bastile, à Paris, le 26 avril 2014. Crédit photo B.Brochenin.

Jean-Claude Mary, l’orateur sur la photo ci-dessus, m’a consacré plus de quatre minutes afin de m’expliquer le pourquoi de sa présence au Tchernobyl Day parisien. Je vous invite à visiter le site de l’association Enfants de Tchernobyl Belarus, qu’il représente, créée en 2001, en soutien à l’institut BELRAD, institut dont le but est de veiller à la santé des populations vivant en Biélorussie, à proximité de la centrale ukrainienne de Tchernobyl.

Merci d’être attentif jusqu’à la fin de son intervention.

Interview de Jean-Claude Mary, membre du conseil d'administration d'Enfants de Tchernobyl Belarus, le 26 avril 2014 à 15h00, place de la Bastille

Voici un extrait de La supplication : Tchernobyl, chroniques du monde après l’apocalypse, par Sveltana Alexievitch, ouvrage cité par Jean-Claude Mary :  » Je crains la pluie … Voilà ce que c’est Tchernobyl. Je crains la neige … Et la forêt. Ce n’est pas une abstraction, une déduction, mais un sentiment qui gît au plus profond de moi même. Tchernobyl se trouve dans ma propre maison. Il est dans l’être le plus cher pour moi, dans mon fils qui est né au printemps 1987 … Il est malade. » Il s’agit des paroles d’Alexandre Revalski, historien. J’avais entendu ces mots pour la première fois le 17 mars 2011, dans le six-sept d’Audrey Pulvar, sur France Inter.

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